Un vélo électrique, un pote, et une petite leçon de vie au passage.
Bon. On va pas se mentir : sur la photo, je suis en train de me la raconter sévère.
Lunettes de soleil, pose assurée, fond graffé.
Mood : “je suis dans un clip”.
Mais comme souvent dans la vie, ce moment n’est pas juste ce qu’il a l’air d’être.
Le contexte :
On traîne en ville, fin de journée, vibes cool.
Mon pote me regarde et me dit :
“Vas-y, monte. Essaie-le.”
Il parle de son Super73, son petit bijou à lui.
Tu sens qu’il veut vraiment que je teste.
Pas pour m’impressionner.
Mais pour me faire ressentir un truc.
Et c’est là que j’ai capté.
En fait, parfois, on galère à exprimer ce qu’on ressent. On passe par des mots, ça sort de travers.
Mais là, lui, il m’a juste tendu son guidon.
Il m’a dit “prends ma place”, sans le dire.
Et franchement ? Ça m’a fait quelque chose.
Spoiler : les vélos électriques, c’est une révolution.
Mais pas juste parce que c’est écolo, rapide, ou stylé.
Parce que ça te déplace au sens large :
tu changes de rythme, de perspective, de posture.
Et t’as cette sensation que t’es libre.
Pas besoin d’expliquer. Tu ressens.
Et maintenant ?
Si t’as rejoint la Crazy Révolution, voilà ma question :
Est-ce que t’as déjà tendu ton “vélo” à quelqu’un ?
Pas forcément au sens propre — mais t’as déjà offert un bout de ton monde à vivre ?
Et inversement : t’as déjà accepté de te mettre à la place de l’autre, juste pour voir ce que ça fait ?
Parce que ouais, c’est cool d’avoir du style.
Mais c’est encore mieux quand ça crée du lien.
Conclusion ?
Prenez le guidon. Passez le guidon.
Et vivez à fond, sans oublier de vivre pour de vrai.